Orphan Black saison 3, c’est fini ! Snif ! La saison aura mis un certain temps à s’imposer mais une fois en place, le feu d’artifice d’émotions et d’action fut spectaculaire !
L’occasion pour Femmes de séries de vous livrer son petit top de ses clones (féminins) préférées et surtout de vous expliquer pourquoi on aime une « sestra » plus qu’une autre ! Même si au final, on les aime toutes !
CLONE 1
Cosima
Notre chouchoute ! Parce qu’elle est drôle, intelligente et pleine de réparties drôles et intelligentes !
Notre geek spécialisée en EVO DIVO est aussi une âme sensible, un petit coeur tendre qui se laisse facilement séduire par de jolies blondes qui lui cachent forcément des infos et qui vont forcément lui briser le palpitant !
Mais comme elle se plaît à le dire à Rachel, sa sexualité n’est pas la chose plus intéressante chez elle !
Non, de son prénom à ses dreads, Cosima Niehaus est une personnalité atypique, la fille que tout le monde voudrait avoir comme soeur, copine ou BFF ! Impossible de ne pas tomber sous le charme de cette fille irrésistible.
Mais comment voulez-vous résister à cette désarmante et attachante sociopathe !? Oui, on vous l’accorde, elle est légèrement complètement cinglée mais elle a de grosses circonstances atténuantes (maltraitance dans l’enfance, une furieuse tendance à finir en cage…). Forcément, tout ça la met un peu à cran, notre Helena !
Mais quand elle se découvre une famille de clones, elle tente de se socialiser et gare à ceux qui veulent faire du mal à ses sestras et en particulier à Sarah, sa jumelle ! Forte de compétences époustouflantes en matière de survie et de combat, le tout dans un corps de femmes et l’esprit d’une enfant, Helena est tout simplement exceptionnelle de spontanéité.
Et drôle, si drôle quand elle n’essaie de tuer personne !
Méfiez-vous de la soccer mom qui dort ! On aurait tôt fait de la croire autoritaire et uptight mais au finish, Miss Hendrix (qui a quand même obligé son époux à prendre son nom à elle !) est tellement plus que ça !
Alison est une meneuse d’un sang-froid à toute épreuve, une mère aimante et une femme dévouée même si elle a quand même torturé le pauvre Donnie au pistolet à colle ! Chacun ses petites manies, dirons-nous !
De tous les clones, Alison est encore la plus surprenante car elle n’est jamais là où on l’attend. Lorsque l’on pense que rien ne la touche, la carapace se fissure juste assez pour nous faire entrevoir la peur, la tristesse mais aussi l’amour sincère qu’elle porte à sa nouvelle famille qui met le boxon dans sa petite vie bien réglée !
Dur dur d’être une héroïne bad-ass ! Car à la différence de ses sestras, Sarah ne sort pas vraiment de l’ordinaire en dehors du fait que sa fécondité est miraculeuse et qu’elle est tirée à plusieurs exemplaires.
Au fond, elle n’est ni plus, ni moins qu’une jeune paumée qui tente de récupérer sa fille et de se réconcilier avec sa mère adoptive. Elle est malgré elle attirée dans cette sombre histoire dont elle finit par être le porte étendard et le leader naturel.
L’humanité de Sarah est donc moins évidente que celle de Cosima ou d’Alison, elle s’exprime à travers son amour pour ses proches et sa détermination à tout faire pour les protéger.
Elle, qui fut une bonne partie de sa vie une vagabonde, trouve enfin les fondations où construire une vie familiale épanouie. Dommage qu’elle doive continuellement se battre pour ce qui devrait être un dû.
Dans la famille « clone sociopathe », Miss Duncan rentre encore dans une autre catégorie qu’Helena. Froide, calculatrice, cruelle, Rachel est le prototype même de la bitch. Une créature qui n’aime pas sa condition et qui se venge donc sur ses doubles dans un but quelque peu trouble.
Toute notion d’empathie lui est étrangère, elle qui fut élevée par deux parents généticiens aimants, eux-mêmes manipulés par une entreprise responsable de la création de Rachel.
La jeune femme est fascinante et impénétrable même lorsqu’elle reçoit un crayon en plein oeil et doit tout réapprendre. A l’instar des sestras dont elle ne fait pas partie, elle est une dure à cuire constituée d’un matériel résistant.
Bienvenue chez LEDA !
On sait, Delphine, elles ne sont pas faciles à gérer !